Inquiet
: "Je pense que j’étais prêt à
jouer ce personnage qui doute constamment. En plus, il y a plein
de références avec les cow boys et les samouraïs.
Tout ça dans le contexte moderne du réalisateur
Olivier Mégaton. Avec l’allusion à la guerre de
Yougoslavie qui prouve que le dragon est toujours là. Et
la décadence de l’argent et de la drogue".
Blessé
: "On essaie d’aborder tout ça à travers
les yeux d’une petite fille de 12 ans. Voilà le monde
dans lequel elle se retrouve. Elle est aidée par quelqu’un
qui a lui-même participé à cette guerre
et en reste blessé. Ce qui diffère de "Léon"
car nous, on évite le sentimentalisme à tout prix".
Rassuré
: "Mes trois films de réalisateur m’ont apporté
la confiance en moi. Là, je dépendais de mes instincts,
pas de mes idées. D’où une communication de coeur.
Résultat : après 16 ans de métier, je commence
enfin à être mieux dans mes pompes".
Humble
: "Mon prof à Londres, c’était Pete
Posthelwaite. Il ne m’aimait pas mais m’a appris beaucoup. Notamment
à mémoriser toutes les répliques. Et à
ne plus jouer de ma beauté..."